Autrefois atlantiste au point de regretter, lors du conflit russo-géorgien en 2008, que l’OTAN ne soit pas étendue à l’Ukraine, le premier ministre hongrois Viktor Orban a depuis misé sur les puissances orientales, chinoises, turques et russes...
Avec Paul Gradvohl, historien, professeur à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, spécialiste de la Hongrie